Cette fois-ci c’est décidé, à vous les cubes de légumes découpés en un instant, les fines et délicieuses lamelles de poisson et les émincés de viande détaillés avec une régularité mathématique. Vous partez à l’assaut du légendaire couteau santoku. Son nom vous fait rêver, sa rapidité de coupe vous captive et les reflets de lumière sur sa lame vous hypnotisent. Passionnés de cuisine et de préparations culinaires en tout genre, ce couteau de cuisine est fait pour vous. Capable de tout couper, facile à utiliser et au tranchant durable, le santoku a séduit le monde entier. Pour vous aider dans votre quête du meilleur couteau japonais santoku, car tout simplement fait vous, on vous propose un guide d’achat et comparatif 2023 pour en pénétrer les secrets. Découvrez tous les critères qui vous aideront à faire votre choix ! Types de lame, de poignée, composition, marque, prix, utilisation, avantages et inconvénients des modèles, on a tout passé au crible. Devenez maître en santoku et trouvez le couteau japonais qui vous est destiné !
Tenté par l’achat d’un couteau de cuisine santoku, vous vous demandez peut-être comment le choisir. Plusieurs critères peuvent entrer en ligne de compte et vous aider à départager les différents modèles.
Commençons par la lame. S’il n’existe pas de réglementation sur la longueur minimale ou maximale d’une lame de couteau santoku, les modèles possèdent le plus souvent une lame comprise entre 14 et 20 cm.
En fonction de vos habitudes en cuisine mais aussi des aliments que vous préparez au quotidien, vous pourrez choisir un modèle plus ou moins grand.
Le plus important est d’être à l’aise dans la manipulation de votre couteau japonais et que ce dernier ne soit pas trop lourd. En effet, la légèreté du santoku fait partie de ses avantages et permet de l’utiliser fréquemment et durant de longues sessions, sans ressentir de fatigue. Cette caractéristique aura d’autant plus de poids pour les professionnels.
Pour commencer, votre lame de couteau peut être lisse ou alvéolée. Avec une lame alvéolée, se créent durant la découpe comme de petits coussins d’air qui permettent aux aliments de se détacher facilement de la lame. Cette caractéristique est particulièrement appréciable lorsque vous réalisez des découpes très fines de viande ou de poisson.
Détails d’une lame de couteau santoku alvéolé
La lame d’un santoku peut être symétrique ou asymétrique. Traditionnellement, les lames japonaises sont aiguisées selon un angle fin et ce sur un seul côté. Là où une lame doublement biseautée réalise une découpe en V puissante car double, la lame asymétrique est réputée abîmer moins l’aliment, en pénétrant avec plus de finesse.
Cet élément peut également induire une adaptation plus ou moins marquée à un type d’utilisateur. En effet, certaines lames asymétriques s’adressent plus à des droitiers, tandis que d’autres sont conçues pour les gauchers. Les couteaux santoku à lame symétrique sont généralement adaptés à tous.
La soie du couteau est un autre élément de distinction entre les différents modèles de santoku. La soie est la partie de la lame qui se prolonge dans le manche, elle participe à la robustesse des couteaux de cuisine. Les couteaux sont soit dits pleine soie, demi-soie, ¾ soie et soie postiche, en fonction de la proportion de lame intégrée dans la poignée.
Les lames des santoku peuvent être de différentes matières : inox ou céramique. Ces deux matières présentent toutes deux des avantages et des inconvénients. Le choix est alors très personnel. Pour néanmoins vous aider à choisir, voici un tableau récapitulant les points forts et les points faibles de ces deux matériaux.
Les alliages ne sont pas forcément les mêmes d’un modèle de santoku inox à un autre. Réputés posséder des lames dures au tranchant durable, les santoku sont souvent faits d’un alliage riche en carbone. Ce matériau contribue à la force de la lame que l’on mesure communément en HRC. Cet indice renvoie à la dureté du métal sur l’échelle de Rockwell. Plus ce dernier est élevé, plus la lame est dure et réputée de qualité.
Après avoir choisi le type de lame qui vous conviendra le mieux, il vous reste encore un peu de chemin à faire avant d’obtenir le modèle idéal de couteau santoku qui répondra à la perfection à votre utilisation. Dans la continuité de la lame, il est important d’aborder le sujet du manche du santoku. La forme, la matière, la présence de rivets ou non, tout cela n’est pas un détail. Ce sont aussi ces éléments qui vont permettre de gagner en précision lors des découpes ou de réaliser aisément des mouvements amples avec le couteau.
Si chacun aura une forme de manche de couteau santoku plus ou moins adaptée à sa main et à son utilisation, voici quelques données pouvant vous aider à faire votre choix.
Un manche ergonomique garantira une parfaite prise en main pour le travail de découpe. Parfois avec un revêtement antiglisse, ce type de manche saura sortir son épingle du jeu pour éviter que le couteau ne s’échappe des mains lors de la manipulation.
Un santoku peut également posséder un manche rond avec un détail qui fera toute la différence : une arête courant tout le long du manche. Cette forme particulière, appelée « forme châtaigne », provient directement de la coutellerie japonaise traditionnelle et vise à offrir une prise en main optimale.
Si la plupart des manches santoku sont symétriques pour convenir à tous les cuisiniers, certaines formes prennent en considération le fait que vous soyez gaucher ou droitier : c’est le cas du manche en forme de D. En effet, pour que la prise en main soit optimale, il faut que la partie arrondie soit dirigée vers la paume.
De même, le manche en forme de châtaigne possède une arête sur une de ses faces qui a pour vocation de se loger dans la paume de la main. Vous trouverez ainsi des modèles conçus pour les gauchers et pour les droitiers. Notez cependant que ce fin dessin dans la poignée ne causera pas d’inconfort même si vous utilisez un modèle conçu pour un autre type d’utilisateur.
Certaines marques de couteaux proposent de modifier le manche si l’utilisateur en fait la demande. Petit conseil, si plusieurs membres de la brigade ou de la famille sont susceptibles de manipuler le santoku, préférez un manche ambidextre (de forme ovale par exemple) qui conviendra à tous. D’ailleurs, outre le manche, il est également important de vérifier la lame. Si celle-ci est symétrique ou si elle possède un tranchant d’un côté ou de l’autre, cela influencera également le confort d’utilisation.
Au fil de vos recherches sur le santoku, vous avez probablement vu passer plusieurs matières pour ce qui est du manche. Chaque matériau possède ses avantages, que ce soit pour le design, l’entretien plus ou moins facilité, la texture qui vous accommodera le mieux au toucher…
Parmi les diverses possibilités vous retrouverez l’acier inoxydable, le bois, le plastique ABS (Acrylonitrile Butadiène Styrène) ou le polyoxyméthylène.
Les couteaux santoku monoblocs auront un manche en acier (souvent de l’acier inox) dans la continuité de la lame. Ce type de couteau permet une hygiène irréprochable car aucun recoin ou jointure ne passera à travers les mailles du filet lors du nettoyage.
Si le santoku est équipé d’un manche en bois, cela pourra être des lamelles de bois traitées avec des résines spécifiques. Cette composition est adaptée à une utilisation régulière, voire intensive, ainsi qu’au contact répété avec l’eau.
Certains manches, comme ceux en polyoxyméthylène, peuvent aussi être rivetés à la lame pleine soie. Les rivets sont généralement en acier inox. Au nombre de deux ou trois selon la taille du couteau, ces rivets permettent de garantir une solidité dans le temps et une robustesse sans pareil. Il s’agit là d’un avantage pour un couteau multiusage comme le santoku.
Le manche d’un santoku a également son mot à dire quant à l’équilibre de celui-ci. L’art de l’équilibre en coutellerie réside dans la proportion entre la lame et le manche, les matières, les longueurs, les formes. Tout rentre en ligne de compte ! Pour cette raison, vous trouverez parfois des manches creux ou pleins afin de pouvoir jouer sur l’équilibre du couteau et ainsi proposer un maniement optimum.
Outre l’aspect esthétique, le choix d’un couteau santoku s’articule autour de bon nombre de caractéristiques auxquelles il faut donner grand soin. Choisir le manche parfait de votre couteau santoku est essentiel pour une prise en main agréable, un gain de dextérité mais aussi pour limiter la fatigue qui peut arriver avec une utilisation intense (notamment chez les professionnels).
Arcos est une marque de couteau espagnole à la réputation internationale. Son histoire qui débute en 1734 est marquée par trois siècles de production et d’innovation. On retrouve aujourd’hui les produits de coutellerie Arcos dans 70 pays.
La production Arcos, toujours basée en Espagne, délivre des couteaux de qualité dans des gammes de prix permettant à tous de bénéficier de ce savoir-faire.
De Buyer est une marque spécialisée dans les ustensiles de cuisine professionnels. On retrouve ses produits dans de nombreuses cuisines de chefs.
Fondée en 1830, son histoire débute par l’art de la forge avec la production de ménagères. Aussi, est-ce tout naturellement qu’elle propose aujourd’hui encore son savoir-faire coutelier.
Suivant le fil des innovations, la marque a développé un catalogue très riche et est devenue une référence pour tout le matériel de cuisine et de pâtisserie.
Global est indéniablement une référence dans le monde des couteaux japonais professionnels. Développée par Komin Yamada, cette marque est celle qui a fait découvrir à tous la grande qualité des couteaux japonais.
La démarche de Global a toujours été de sélectionner des matériaux haut de gamme et de proposer un design épuré parfaitement adapté à un usage professionnel. Cela donne des couteaux monoblocs, forgés dans un acier trempé inox Cromova 18 à HRC élevé.
Équilibré, ergonomique, hautement résistant à la corrosion et au tranchant durable, le couteau santoku Global impressionne par sa performance.
Née à Seki en 1908, la maison de coutellerie Kai fait vivre encore aujourd’hui l’art traditionnel de la forge japonais. Ses couteaux santoku sont fabriqués à la main par des artisans au grand savoir-faire.
La qualité des matériaux est associée à une maîtrise absolue du geste pour donner naissance à des couteaux à la lame d’une grande dureté et au tranchant durable.
Selon les collections, les lames sont brillantes, damassées ou martelées d’après le procédé du Tsuchime pour offrir des visuels renversants. La marque Kai veille à offrir des couteaux équilibrés et au design ergonomique pour éviter la fatigue durant la découpe. Les couteaux Kai sont des couteaux haut de gamme qui traversent le temps.
Kyocera est une entreprise d’envergure internationale à la grande diversité d’actions. Réputée dans le domaine culinaire pour ses produits en céramique, elle fut parmi les premières à proposer des lames en céramique.
Ses couteaux sont composés d’une céramique de grande qualité appelée oxyde de zirconium.
Les lames sont moulées et cuites à très haute température. C’est ainsi durant la cuisson que la céramique gagne en densité, devenant extrêmement dure et ainsi résistante à l’usure.
Les santoku Kyocera possèdent une lame résistante à l’acidité et aux corps gras, qui ne rouille pas et ne craint pas la corrosion ou la décoloration.
D’une grande légèreté, les lames de ces couteaux conservent dans le temps leur pouvoir de découpe. Les santoku de cette marque ne demanderont pas les mêmes soins d’affûtage que des couteaux aux lames inox.
Opinel c’est une invention, une histoire, une référence. Connu et reconnu pour avoir élaboré l’indéfectible couteau de poche, Opinel s’est illustré au fil des générations par son attachement à l’innovation et à la recherche de l’efficacité.
Si le couteau de poche Opinel est l’objet phare de ses créations, le savoir-faire de cette marque française propose aujourd’hui d’autres collections.
Puisant dans ses codes et en mettant son inventivité au service d’un design à la fois esthétique et fonctionnel, Opinel conçoit des couteaux santoku aux lignes épurées, à la lame puissante et au manche résistant. Tout comme le couteau de poche, le couteau santoku Opinel est là pour vous accompagner dans toutes vos découpes.
Vous trouverez différentes marques portant le nom de couteau Sabatier : Sabatier Trompette, Lion Sabatier, Sabatier Richardson…
Cette similarité dans les noms de marque s’explique par le partage d’une même référence, celle d’une production originelle basée à Thiers. Celle-ci était tournée vers l’équipement des cuisiniers et des bouchers. Aujourd’hui différenciées, ces marques proposent chacune leurs typologies de couteaux, leurs matières, leurs techniques.
Vous trouverez sur notre site des couteaux Sabatier Trompette, Lion Sabatier et Richardson. Cette diversité de marques professionnelles est mise au service du quotidien.
En effet, parmi ces marques notre sélection de santoku s’est portée sur la qualité des matériaux et un design capable de s’adapter à tous. Dans l’optique de répondre aux besoins des professionnels, la marque Sabatier Trompette conçoit par exemple des couteaux légers, ergonomiques et au design simple. Vous apprécierez notamment la résistance et le tranchant de la lame. Les amateurs pourront quant à eux se reposer sur l’ergonomie et la facilité d’utilisation de ces couteaux.
Quand on projette l’achat d’un couteau santoku, le prix est bien évidemment un élément à prendre en compte. Objet du quotidien, un couteau sait se faire technique et esthétique. Il est important alors d’identifier ses besoins et ses attentes.
De nombreux facteurs font varier les prix d’un couteau santoku. Aussi il faut pouvoir les identifier et les questionner face à sa démarche d’achat et l’utilisation que l’on souhaite faire de son couteau de cuisine.
Vous trouverez sur notre site des santoku aux alentours des 30 € et d’autres atteignant les 200 €. Si nous avons fait le choix de vous proposer des gammes de prix aussi étendues, c’est bien que nous sommes convaincus que chacune d’elles présente des avantages. Aussi, pour vous aider dans votre choix, voici quelques orientations.
À chaque couteau sa technique de découpe. Si vous souhaitez vous essayer au santoku, nous vous proposons des couteaux japonais à moins de 50 €. Dans cette gamme de prix, vous aurez un large choix de modèles, de design, de marques, y compris de santoku de fabrication japonaise.
Si vous êtes adepte des lames céramique, vous aurez accès à de nombreux modèles avec un budget de 80 €. Les lames de ces couteaux seront appréciées aussi bien par les cuisiniers amateurs que les professionnels.
Dans cette gamme de prix, se trouvent de nombreux modèles de santoku de qualité professionnelle. Les HRC de leurs lames sont généralement plus élevés, ce qui donne des couteaux de cuisine japonais au tranchant puissant et durable. Vous retrouverez par exemple les gammes monoblocs des marques Global et Kai. Ces modèles assurent une hygiène irréprochable en cuisine et s’entretiennent très facilement. Vous apprécierez cet équilibre entre qualité de découpe et facilité d’utilisation au quotidien.
Au-delà des 150 €, les santoku que nous vous proposons sont des couteaux haut de gamme qu’apprécieront aussi bien les cuisiniers que les amoureux de la coutellerie. Lame damassée, martelée, pleine soie, manche en bois à la forme traditionnelle, ces santoku sont un condensé de technique et d’art. Aussi puissants que beaux, ces couteaux japonais s’offrent et s’utilisent avec plaisir. Il conviendra de leur apporter un soin tout particulier du fait de leur composition.
C’est pour satisfaire toutes les attentes que nous vous proposons des santoku de différentes gammes de prix. Pour vous aider un peu plus à choisir, voici une dernière série de questions qui vous orientera peut-être et vous aidera à naviguer entre les différents modèles présents sur notre site : êtes-vous habitué aux couteaux japonais ou est-ce un premier essai ? Votre souhait se porte-t-il avant tout une facilité d’utilisation au quotidien ou une technique de forge traditionnelle ? Êtes-vous plutôt couteau céramique ou inox ? Votre utilisation sera-t-elle occasionnelle ou fréquente ? Est-ce un achat répondant à un besoin du quotidien ou un achat passion ? Avez-vous une prédilection pour une marque de couteau ?
Pour visualiser plus en détail la variété de santoku disponible, nous vous proposons une rapide présentation de quelques modèles.
Découvrez un santoku à la lame céramique avec ce couteau de cuisine de la marque Kyocera.
Loin des codes traditionnels de la coutellerie japonaise, ce santoku présente un design moderne et acidulé.
Son tranchant n’en est pas moins puissant grâce à sa lame en oxyde de zirconium.
Muni d’une lame assez courte, ce couteau ne craint pas la corrosion et présente l’avantage de ne pas rapidement s’émousser.
Avec un manche ergonomique, légèrement surélevé, votre main ne vient pas frapper le plan de travail durant les travaux de découpe.
Il faudra veiller à préserver la lame des chocs pour éviter qu’elle ne se brise.
Voici un santoku conçu par Global, marque emblématique de la coutellerie professionnelle.
Il s’agit d’un couteau inox monobloc, où lame et manche sont formés d’une seule et même pièce. Cette caractéristique dote ce santoku d’un grand équilibre, ce que renforce son autre particularité, à savoir un manche creux.
La lame est ici alvéolée, pour permettre une découpe aisée des aliments, notamment des viandes et poissons crus.
Réalisé dans un acier inoxydable extrêmement résistant, l’inox CROMOVA 18, ce couteau japonais se nettoie sans difficulté.
Design épuré, couteau tout inox à la fois léger et puissant, ce santoku a été pensé pour les professionnels.
Voici un santoku forgé au Japon par la maison Kai.
Condensé de technique et d’esthétisme, la fabrication de ce couteau de cuisine a fait appel à tout le savoir-faire des artisans de cette maison de coutellerie japonaise.
Réalisé en collaboration avec le chef cuisinier Tim Mälzer, ce santoku présente une lame impressionnante.
Impressionnante tout d’abord par sa composition et sa dureté. Elle est en effet formée d’un alliage de 32 couches d’aciers complémentaires et d’un cœur en VG Max, acier japonais de grande qualité, ce que met en lumière son HRC de 61.
La lame est ensuite impressionnante par le travail qu’elle a nécessité. Grâce à l’application de différentes techniques, elle possède un fil au tranchant vif, une ligne centrale damassée où se révèlent les différentes couches d’aciers et une partie supérieure martelée, selon le procédé de Tsuchime.
Prolongée d’un manche en bois Pakka brun, la lame de ce santoku est une œuvre d’art.
Si vous n’avez jamais utilisé de santoku et que vous souhaitez en découvrir l’utilisation, voici un modèle qui vous permettra d’en découvrir les caractéristiques.
Ce santoku Arcos de la collection RIVIERA possède une lame de 18 cm, ce qui permet d’accompagner la découpe par un long mouvement. Les aliments sont ainsi tranchés de manière nette. De plus, la présence d’alvéoles permet aux aliments crus de se détacher plus facilement de la lame. Vous pouvez ainsi réaliser aussi bien des découpes fines de poisson ou de viande que des dès de légumes plus grossiers.
Le manche riveté en polyoxyméthylène permet une prise en main stable. Bien que légèrement plus lourd que certains santoku, ce couteau japonais offre une manipulation simple qui en facilitera la découverte.
Ergonomique et doté d’un tranchant puissant, ce couteau de fabrication européenne est dans une gamme de prix idéale pour débuter.
Les caractéristiques à retenir :
Passionné de couteaux japonais, ce santoku Kai ne vous laissera pas indifférent. Réalisé à la main au Japon, ce couteau a été forgé de manière traditionnelle. De nombreuses étapes ont été nécessaires pour créer une lame à la fois d’une extrême dureté et aux reflets irisés.
Composée de 32 couches d’aciers complémentaires et d’un cœur en VG Max, la lame de ce couteau japonais affiche un HRC de 61. Cette force lui est acquise par une composition au fort taux de carbone. Cela contribue au tranchant exceptionnel de la lame. Combiné à un angle d’aiguisage très fin, la découpe de ce santoku est d’une précision chirurgicale.
Alvéolée, pour créer des coussins d’air durant la découpe, la lame est également damassée. Les différentes couches d’aciers sont en effet révélées dans un élégant dessin d’ombre et de lumière.
La qualité de la lame est prolongée par un manche en bois Pakka, présentant une forme traditionnelle de la coutellerie japonaise. Une arête est présente dans le bois pour permettre au couteau de se loger parfaitement dans la main. Cela réduit la fatigue durant la découpe.
L’excellence des matériaux et le savoir-faire artisanal dont est dépositaire ce santoku, en font un couteau haut de gamme qui ravira tous les passionnés.
Les caractéristiques à retenir :
Pour terminer, voici nos derniers conseils pour prendre soin du santoku que vous aurez sélectionné. Que ce soit pour compléter votre matériel de découpe, l’aiguiser ou le ranger, un certain nombre d’accessoires vous seront bien utiles, en voici quelques-uns :
Un support parfait pour découper vos aliments avec votre santoku !
À privilégier en bois, comme le frêne, pour que le tranchant de votre lame dure le plus longtemps possible !
L’entretien de votre couteau santoku est sacré. Il vous faudra vous équiper en conséquence pour maintenir votre santoku en état pour qu’il conserve son pouvoir tranchant au fil des utilisations.
Pierre à eau manuelle avec guide d'affûtage ou fusil à aiguiser, choisissez en fonction de votre usage et de vos préférences !
Une fois son utilisation terminée, il vous faut ranger soigneusement votre couteau santoku. À l’abri d’éventuels accidents qui abîmeraient la lame, il convient de choisir un rangement spécifique aux couteaux de cuisine : barre aimantée, bloc couteaux ou encore protège-lame !
Nous espérons que ce guide d’achat vous aura fourni toutes les informations nécessaires pour découvrir quel couteau santoku est fait pour vous ! N’hésitez pas à prendre votre temps pour consulter les informations disponibles pour chaque modèle. Il existe forcément un santoku qui répondra parfaitement à vos envies et besoins. Alors, que la force du santoku soit avec vous !
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